Partant de l'idée qu'il ne peut y avoir de croissance infinie dans un monde fini, la décroissance exige de repenser radicalement notre manière de travailler, de consommer, de vivre ensemble. De plus en plus de personnes se révèlent sensibles à ces nouvelles pratiques, et en particulier celle de la " simplicité volontaire " qui milite pour la fin de la consommation de masse et du gaspillage qui y est associé. Derrière cela, un concept existe que, d'ailleurs, peu d'adeptes de la décroissance connaissent et qui est loin de faire l'unanimité. Assen Slim et Marc Prieto en font l'analyse en dehors de tout discours partisan.