Un soir de novembre, à la station de métro Concorde. Un homme agresse une femme. Judikael Hirel intervient pour la défendre. Quelques minutes plus tard, il affronte un déluge de coups, portés avec une violence et un acharnement inouïs. Aujourd'hui, son visage ne tient que grâce à une cinquantaine de plaques de titane fixées sous sa peau. Les antidouleurs accompagnent son quotidien et il suffit d'une simple baisse de température pour que la souffrance resurgisse. Judikael Hirel est entré dans une nouvelle vie : celle de victime.