En écrivant Les vrais bonheurs, l'auteur témoigne de l'importance des arbres, du feu, des pierres, des champs, des fleurs, des chemins, de tout ce qui demeure essentiel dans notre civilisation aveugle. Il nous fait prendre conscience du gouffre creusé entre la vie naturelle et l'existence telle qu'elle est subie dans les grandes villes où la plupart des enfants n'ont jamais vu d'abeilles butiner des fleurs.